Faut-il nécessairement « s 'aimer » pour coopérer entre européens ?

Deux exemples transfrontaliers
Par Caroline Maury
Français

En constatant le décalage entre deux contextes transfrontaliers, le texte s’attache à comprendre pourquoi dans le cas de Perpignan les sentiments sont au principe de l’action transfrontalière alors qu’à Mulhouse la coopération transfrontalière fonctionne sur le registre de l’aménagement du territoire, de l’efficacité économique sans mentionner les sentiments entre voisins européens. Les raisons de ce décalage sont recherchées d’une part dans les processus de construction et d’insertion de ces territoires frontaliers dans un schéma multiniveaux complexe et d’autre part en examinant l’usage (ou le non usage) des sentiments en matière de gestion politique de ces territoires.

Voir l'article sur Cairn.info